Cela a été un peu mon cri du coeur hier, quand j’ai fini la lecture d’un livre sur les toxines environnementales. L’envie d’évacuer tout cela avec des larmes aux yeux… “what did we do to them !!?” désolée le livre était en anglais alors la phrase est sortie aussi en anglais. En tout cas, en relisant les lignes d’un des paragraphes où on nous disait, que aux Etats-Unis, 50% des enfants sont malades, j’étais vraiment abasourdie. Alors, j’ai essayé de garder la tête froide et je me suis remise à la rédaction de mes articles. 50% cela laisse songeur, des maladies qui sont en croissance exponentielle depuis quelques décennies.
Mais les chiffres sont là
Si l’on continue ainsi, en 2025, les projections donnent plus de 80% des enfants souffrant d’une maladie chronique aux Etats-Unis. Quand on parle de maladies chroniques, on parle d’obésité, de diabètes, de dépression, d’asthme, allergie, autisme, de déficit de l’attention etc etc .. la liste est longue. Alors je me suis sentie chanceuse en me disant que mes enfants s’en sortaient pas trop mal.
Bien sûr, l’alimentation entre en ligne de compte, mais ce n’est pas tout malheureusement : trop de sucre, trop d’additifs suspects, mais aussi des pesticides qui agissent pour la plus part comme perturbateurs endocriniens. Et ces pesticides nous amènent directement à parler des autres toxines, qui envahissent notre quotidien et malheureusement affectent nos enfants en premier. Elles nous affectent aussi, puisqu’elles nous rendent malades, nous adultes : problèmes de thyroïde, prise de poids, diabète, cancer et aussi les maladies dégénératives comme Alzheimer etc… la liste est longue et si pour nous, cela nous semble faire partie de la fatalité, cela devient bien plus problématique quand cela touche nos enfants.
Cela affecte en priorité nos enfants puisque leur cerveau et les systèmes immunitaire, digestif, vasculaire, sont en pleine maturation et formation. Et c’est là, que cela devient inquiétant. Avec de telles carences, de tels problèmes dès leurs plus jeunes âges, nos enfants deviennent des mutants. Le terme parait fort, mais quelles deviennent leurs chances d’être en bonne santé, quand dès leur plus jeune âge, ils commencent déjà avec tant de déséquilibres ?
Les chiffres qui font peur
Alors, bien sûr, on peut se dire qu’il y a un meilleur diagnostic qu’avant, mais les chiffres tels qu’ils apparaissent sont quand même significatifs d’une augmentation.
- Pour l’autisme, l’augmentation est significative puisque le taux est passé de 1 pour 10 000 à 1 pour 50 en 2015, (*)
- L’asthme affecte 1 enfant sur 8 avec plus particulièrement 1 enfants sur 6 chez les African American.
- Un enfant sur 3 est en surpoids ou obèse.
- Un enfant sur 30 est diagnostiqué avec une dépression infantile.
- 10% des enfants souffrent de ADD/ ADHD (1 garçon sur 5) (Attention Deficit Disorder et Attention Deficit Hypractivity Disorder).
- 17% ont des problèmes d’apprentissages.
- 1 enfant sur 17 a une allergie alimentaire mortelle.
Du coup, on peut d’ailleurs s’interroger sur l’avenir de ces enfants qui sont déjà malades si jeunes.
J’ai cherché bien sûr les chapitres sur les enfants, les maladies chroniques, les maladies environnementales et je n’ai pas trouvé grand chose : de 2 choses l’une, soit, les chiffres sont bien moindres qu’aux Etats-Unis et dans ce cas là, tant mieux, soit les statistiques ne s’intéressent pas encore à ce genre de problème.
Il y a quand même une chose à considérer dans ce rapport, c’est l’augmentation de l’incidence de l’obésité chez les enfants français. Or, il est prouvé que les perturbateurs endocriniens, agissent aussi sur le métabolisme des lipides entrainant une augmentation des tissus adipeux, entrainant d’ailleurs, l’augmentation de l’accumulation de ces mêmes perturbateurs endocriniens dans ces tissus : c’est un cercle vicieux.
Je pencherais pour les deux explications. Mais si aux Etats-Unis, les réglementations environnementales sont bien plus laxistes, nous poussant à en faire davantage, là, il n’en reste pas moins, que nous sommes quand même sur une bombe à retardement, même en France.
En prenant les choses en main maintenant, c’est l’avenir de vos enfants que vous améliorez, MAIS aussi, c’est la vôtre !
Alors face à cet état de fait, que pouvons nous faire ?
ou alors
vous pouvez choisir d’agir pour le bien de vos enfants, pour pour votre bien aussi et diminuer autour de vous cette exposition, avec des gestes simples qui pour être vraiment assimilés, doivent être aussi compris.
Dans mon nouveau programme : “Diminuer l’impact de l’environnement sur votre santé” : je vous propose de comprendre ce qui nous entourent, pour effectuer des changements qui vous permettront de diminuer de façon significative l’exposition de vos enfants, mais aussi, votre exposition aux toxines de l’environnement.Ce programme est adapté aux Etats-Unis, puisque c’est là que je me suis formée sur le sujet, mais aussi adapté à la France puisque je suis de près les actualités aussi.
- pour les mamans qui sont soucieuses de l’avenir de leurs enfants,
- pour les futures mamans car c’est à ce moment-là que le bébé est le plus exposé et que c’est le plus dangereux pour lui,
- pour les femmes qui abordent une période charnière de leur vie, au moment de la ménopause par exemple,
- pour vous praticien, médecin, pharmacien, sage-femme, doula, naturopathe, kiné car c’est aussi par vous que l’information passe,
- et pour vous autres qui sont tout simplement intéressés par cela,
- pour vous qui avez déjà une maladie chronique (diabète, fatigue chronique), parce-qu’il n’est pas trop tard pour agir.
En plus, nous verrons aussi, les problématiques suivantes :
et les autres chapitres :
- Comprendre les perturbateurs endocriniens
- Pourquoi les bébés sont les plus vulnérables
- Revue des Métaux lourds
- Quelles solutions : Eviter, Eviter, Eviter, Supplémenter, Détoxifier
Et si vous décidiez de prendre le sujet en main pour offrir à vos enfants un meilleur avenir ?
Bonus 1 : liste complète des ingrédients à éviter et de leurs effets dans les cosmétiques
Bonus 2 : un guide pratique des substances à éviter en fonction de l’âge (bébé, enfant, femme et homme)
Bonus 2 : un code de réduction pour souscrire à une formation à l’aromathérapie que j’ai créé sur une plateforme santé.

5 conseils pour sensibiliser vos patientes
aux perturbateurs endocriniens
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